La légèreté sans effort

Nos muscles externes et internes (muscles lisses) portent à chaque instant toutes les parties de notre corps, ils sont donc sollicités de façon intermittente suivant nos postures.

En flottaison, l’utilité musculaire est extrêmement réduite car l’effet d’apesanteur suppléé à leur rôle. Le relâchement est alors très important et si il n’est pas total, c’est que l’on n’a pas encore su tout relâcher car ce nouvel environnement et ces nouvelles sensations sont inhabituels. Au bout d’une vingtaine de minute, l’ensemble du corps lâche prise. La décontraction remplace alors les réflexes de maintien et le repos musculaire s’engage. Quelquefois on peut ressentir des petites douleurs passagères qui témoignent de nœuds qui se défont spontanément.

« j’ai ressenti une douleur à la cuisse et j’ai retenu puis j’ai fini par relâcher, lorsque la douleur est passée, j’ai ressenti un grand soulagement, comme si une vieille habitude inutile s’était dissipée…».  (Marie Caroline P)

Libéré(e) de l’effort gravitationnel

La flottaison procure un état d’apesanteur durant lequel le traitement de la perception de notre corps et de l’espace diminue.

Par exemple, de larges parties du cerveau comme le cortex pariétal et le cervelet sont mobilisés pour nous permettre de nous situer dans l’espace et définir les limites et les mouvements de notre corps.

Dans nos bassins, il n’y a pas ou peu de sensation d’espace car le fait de flotter en apesanteur, et dans une eau calibrée à la température de l’épiderme, atténue la perception de nos propres dimensions. La sensation tactile est très atténuée et durant un bon moment, on ne sait plus où commence et finit le corps.

« En flottaison, pas besoin de faire d’effort pour se sentir léger et se rééquilibrer »

Au centre de Flottaison de Bourron-Marlotte vous bénéficiez de conseils personnalisés pour optimiser les bienfaits de l’apesanteur.